Un évènement aux enjeux doubles, à en croire le directeur de GSEZ Airport.«D’une part, il s’agit d’adopter une approche inclusive impliquant toutes les parties prenantes internes et externes dont les activités ont un impact direct ou indirect sur la sécurité, occasion pour chaque acteur de se fixer des objectifs internes afin de contribuer aux efforts généraux de l’aéroport dans le maintien du niveau de sécurité optimal pour réduire le taux d’accident / incident sur la plateforme ; et, d’autre part, promouvoir et améliorer notre culture de sécurité en se partageant les expériences et connaissances», a déclaré Igor Simar. A cette occasion, le directeur général du gestionnaire de l’aéroport de Libreville a réaffirmé sa volonté d’assurer la sécurité sur l’aérodrome afin d’échapper à la spirale des accidents qui a pris des proportions inquiétantes. Ces deux dernières années, en effet, lAssociation des transporteurs aériens internationaux (Iata) a recensé près de 90 cas d’accidents pour 290 compagnies membres, soit un pourcentage de 82% du trafic mondial. Face aux pertes en matériel et vies humaines causés par ce phénomène, il convient de se demander comment réduire le nombre d’accidents dans le secteur aérien. «La sécurité aérien ne s’improvise pas, elle s’apprend, elle s’applique et implique des personnes. Il est donc indispensable que tous les acteurs de la chaine du transport aérien s’impliquent de manière à réduire le nombre d’incidents et accidents», a conclu Igor Simar.
Agriculture familiale : les organisations de producteurs d’Afrique et les parties prenantes évaluent le niveau de mise en œuvre de la Décennie des Nations Unies (DNUAF)
Lors de la présentation du niveau de mise en œuvre de la NDUAF par Francesco Diasio de l’Organisation des Nations...